Des gisements d’économies d’énergie
Les économies d’énergie (cf. Fig. K11) peuvent être alors obtenues par différentes méthodes :
- de réduction d’énergie : Elles visent à moins consommer pour obtenir les mêmes résultats (ex. : installation de lampes à haut rendement énergétique offrant la même qualité d’éclairage avec moins d’énergie ) ou réduisent la consommation d’énergie en veillant à ne pas utiliser plus d’énergie qu’il n'est strictement nécessaire (ex. : une autre méthode est la réduction du nombre de lampes dans une salle qui est trop éclairée).
- d’économie d’énergie : Elles ne réduisent pas la quantité totale d’énergie consommée mais réduisent le coût unitaire. Par exemple, le transfert de certaines activités diurnes pour profiter du tarif préférentiel de nuit ; ou encore évitement des périodes de pointe par des programmes de réponse à la demande.
- de fiabilité de l’énergie : Elles contribuent non seulement à l’efficacité opérationnelle en évitant les arrêts de production, mais évitent aussi les pertes d’énergie associées aux redémarrages fréquents et au travail supplémentaire associé aux lots de produits gâchés.
Les appareils transformateurs d’énergie sont les premiers gisements d’économie exploitables auxquels tout le monde pense : moteurs, dispositifs d’éclairages et de chauffage.
Mais il y a aussi tous les dispositifs et programmes de commande de ces appareils qui sont susceptibles d’être des sources d’économie.
Pages dans cette section
- Economies d'énergie liées aux moteurs
- Economies d'énergie liées à l’éclairage
- Economies d'énergie liées à la correction du facteur de puissance et le filtrage d’harmoniques
- Economies d'énergie liées à la gestion de charge
- Economies d'énergie liées aux systèmes d’information et de communication
- Economies d'énergie liées aux tableaux intelligents
- La conception des systèmes d’information et de surveillance des installations électriques